Samois, le chaland
La couche colorée, non vernie et mate, était couverte d'un encrassement prononcé, très fortement incrusté dans les creux de la matière picturale et très difficile à éliminer en raison notamment des reliefs inhérents à la technique néo-impressionniste. La crasse était également incrustée dans la préparation absorbante, de couleur blanc cassé, laissée en réserve dans les nombreux interstices régnant entre les touches de couleurs. L'encrassement homogénéisait les valeurs et les tons, et écrasait l'espace. La peinture a retrouvé sa clarté et ses contrastes, sa profondeur spatiale et la richesse virtuose de la palette.
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